lundi 16 janvier 2017

Vignoble de Buzet

Le Vignoble de Buzet :



Buzet est un bourg agricole installé sur la Baïse, affluent de la rive gauche de la Garonne, dans laquelle elle se jette à 25 km en aval d’Agen.



Le paysage viticole :

Les vignobles sont essentiellement répartis sur les coteaux de part et d’autre de la Baïse, sur le complexe molassique typique du Bassin aquitain.



Le vignoble de Buzet s’étire sur une quarantaine de kilomètres de longueur sur la seule rive gauche de la Garonne. Il est situé dans le département du Lot-et-Garonne et s’inscrit dans un quadrilatère limité à l’est par Agen, par les bourgs de Tonneins au Nord, de Casteljaloux à l’ouest et de Nérac au Sud.

La Baïse est le dernier grand affluent en rive gauche de la Garonne, avant que celle-ci ne rejoigne la Dordogne pour former l’estuaire de la Gironde. Descendu du plateau de Lannemezan, en bordure des Pyrénées, ce cours d’eau traverse la Gascogne et les vignes de l’Armagnac suivant un tracé sud-nord quasi rectiligne, d’environ 130 km de long. Il traverse le vignoble qu’il sépare en deux zones avant de rejoindre le fleuve quelques kilomètres après avoir traversé Buzet.

Son cours inférieur encaissé a découpé à l’est comme à l’ouest des plateaux sur lesquels se développent les vignes. Celles-ci profitent favorablement des quelques plateformes alluviales de la rive gauche de la Garonne, recouvrant ces coteaux sur leur versant nord.

Le Climat :
Le vignoble de Buzet bénéficie d’un climat totalement atlantique avec un faible gradient thermique, un bon ensoleillement et quelques brouillards matinaux.

Du fait de sa situation géographique, à environ 140 km de la côte atlantique, le vignoble de Buzet bénéficie du plein climat océanique. Il en subit d’autant plus les effets qu’il n’existe, mis à part la forêt des Landes, aucun obstacle ni aucun relief le séparant de l’Atlantique. La proche présence de l’Océan, mais également celle de ce très important massif forestier, entraine durant l’année une faible amplitude thermique.
En revanche, pour les mêmes raisons, la pluviométrie est importante, mais bien répartie tout au long de l’année.
L’ensoleillement est suffisant, et plus particulièrement durant l’arrière-saison, pour favoriser la bonne maturité des raisins. Cependant, la présence de nombreux cours d’eau à proximité du vignoble, de la Garonne, ainsi que de ses affluents , la Baïse et la Gélise, entraine la formation de brouillards matinaux dont l’excès peut provoquer sur le cépage merlot, dominant dans ce vignoble, le développement de la pourriture grise à laquelle il est particulièrement sensible.

Sols et sous-sols :
On rencontre dans le vignoble de Buzet le complexe molassique de l’Aquitaine, ainsi que les alluvions de la Garonne.

Dans ce vignoble, le complexe molassique de l’Aquitaine est constitué de quatre formations principales superposées et subhorizontales. Ce sont, de la base vers le sommet :
-  les ‘’molasses de l’Armagnac‘’, qui est un ensemble continental, de nature argilo-calcaire, plus ou moins sableux,
-  le ‘’calcaire gris de l’Agenais’’, qui est une superposition, sur quelques dizaines de mètres d’épaisseur, de dépôts variés, à dominante calcaire, d’origine continentale mais avec quelques niveaux marins et une vingtaine de mètres d’épaisseur de marnes à caractères mixtes (marin et continental),
-  le ‘’calcaire banc de l’Agenais’’, qui est composé d’une épaisseur de 15 m de strates calcaires, certaines tendres, d’autres plus dures,
-  la ‘’molasse de l’Agenais’’, qui constitue ici le niveau géologique le plus élevé, forme les croupes arrondies des collines.
Les sols viticoles sont de type rendzine sur les horizons calcaires, de type sol brun sur les zones molassiques, ainsi que sur les terrasses moyennes de la Garonne.

Les cépages et les vins :
La présence du vignoble bordelais a, là aussi, marqué l’encépagement. La production presque exclusive de vins rouges privilégie le cépage merlot.

Le merlot représente 60 % des plantations du vignoble de Buzet. Il est complété du cabernet franc et du cabernet sauvignon, qui forment chacun 15 % de l’encépagement, et du côt, ou malbec, pour le reste.
Les vins rouges représentent 95 % de la production de l’appellation avec, à la base, un encépagement identique ou approchant à celui indiqué ci-dessus. A de rares exceptions, tous les vins rouges de Buzet bénéficient d’un passage dans le bois. On trouvera donc plusieurs types de vin en fonction de la durée de cuvaison et de l’intensité de l’élevage en fûts.
Les vins à boire jeunes, très fruités, marqués par des arômes de pruneau, très souples et ronds, d’abord assez simple, constituent un produit commercial.
Les vins de Buzet peuvent se conserver durant de nombreuses années, car ils possèdent une structure très ferme, et beaucoup de tannins. Après vieillissement, ils développent des arômes de fruits mûrs (pruneau et quelquefois cerise) sur des tannins fondus.
Grâce aux efforts de la Cave Coopérative des Vignerons Réunis des Côtes-de-Buzet, dont la production représente 95 % du volume de l’appellation, les vignerons ont su donner à leur vin, malgré un encépagement typiquement bordelais, une réelle personnalité. Ce sont aujourd’hui des vins biens fruités et plus colorés  que la plupart des autres satellites de Bordeaux. Ils possèdent en outre une note plus méridionale. Pour parvenir à cette fin, une étude très complète des terroirs a été réalisée avec, pour objectif, de permettre à chaque cépage de s’épanouir au mieux. Ainsi les sols de boulbènes pauvres ont-ils été privilégiés pour la plantation du cabernet sauvignon, ceux plus sableux pour le cabernet franc et les sols plus profonds, argilo-calcaires, pour le cépage merlot. Ces efforts ont été récompensés par l’obtention de l’AOC en 1973.

Les vins rosés sont obtenus par saignées des trois cépages de l’appellation. Ils sont de couleur groseille, assez soutenue, très frais et désaltérants et doivent être bus jeunes.
Les vins blancs sont eux aussi issus d’un encépagement spécifiquement bordelais, avec le sémillon, qui est ici très majoritaire, complété du sauvignon et de la muscadelle. Ces trois cépages réunis ne représentent que 5 %  des plantations du vignoble.
Les vins blancs peu originaux, sont très marqués par le sauvignon, qui y est pourtant peu présent. Ils développent des arômes de groseilles à maquereau typique de ce cépage sur ce terroir, des notes de fruits exotiques, d’agrumes, de fleurs d’acacia, et parfois des notes de miel.

Quelques Informations :
AOC depuis :      19 Avril 1973
Superficie :          2091 Hectares répartis sur 27 communes
Production :      115 000 Hectolitres (La coopérative des Vignerons de Buzet représente 94% des ventes de l'AOC)


   Sources : >>  Grand Atlas des Vignobles de France (Benoît) (Edition 2002)
   Guide Hachette 2013

Cfa 01/2017



Vignoble des Côtes du Marmandais

Le Vignoble des Côtes du Marmandais :


Le vignoble du Marmandais est entouré de vignobles réputés, Buzet au Sud-est, Duras au Nord et Bordeaux à l’Ouest.



Le paysage viticole :

Le vignoble occupe les deux rives de la Garonne. Il s’étend sur un relief de coteaux de la rive droite et sur les terrasses alluviales sur la rive gauche.

La ville de Marmande qui a donné son nom à ce vignoble, est bâtie sur la rive droite de la Garonne, à égale distance, une soixantaine de kilomètres, entre les villes d’Agen et de Bordeaux.

Le vignoble des Côtes-du-Marmandais se développe de part et d’autre du fleuve. Il couvre de hautes terrasses alluviales, ainsi que les terrains horizontaux d’âge tertiaire de l’Aquitaine. Ces deux secteurs sont séparés par la riche plaine de la Garonne qui forme une bande non vinicole. La dissymétrie topographique générale des rivières, que l’on rencontre dans de nombreux cours d’eau de la Gascogne , est également bien marquée dans ce secteur viticole. Ainsi, sur la rive droite, où le relief est plus abrupt, apparaissent des formations tertiaires de l’Aquitaine, dans un paysage de coteaux à croupes molassiques arrondies, et dont les flancs sont localement marqués par des ressauts liés à quelques horizons calcaires intercalés.

Sur la rive gauche, les anciennes terrasses alluviales conservées recouvrent le substrat d’âge tertiaire et donnent un flanc de vallée très large, constitué de vastes plaines en gradins.



Le climat :

La proximité de la mer impose ses influences en précipitations, mais aussi en douceur et en chaleur.

A une centaine de kilomètres de l’océan Atlantique, les vignobles du Marmandais sont fortement soumis à un climat océanique, dont le caractère doux et humide convient parfaitement à la vigne. Les vents venus de la mer, chargés d’humidité, remontent l’estuaire de la Gironde puis la Garonne, et provoquent sur les vignobles de fortes précipitations. Celles-ci se font essentiellement ressentir au printemps durant la période de floraison de la vigne et au début de son cycle de maturation. Les étés sont souvent très secs et les automnes encore suffisamment ensoleillés pour mener à bon terme la maturité des raisins.



Sols et sous-sols :
Le vignoble est installé sur des sols de colluvions sur la rive droite de la Garonne et d’alluvions sur la rive gauche.
Le substrat général de la région correspond au complexe argilo-calcaire de l’Aquitaine à molasse dominante intercalée de bancs calcaires de quelques mètres d’épaisseur, avec localement des horizons marneux.
Ce substrat fournit en rive droite des colluvions solifluées en sols bruns plus ou moins lessivées, tandis que sur les horizons calcaires, des argiles de décalcification se mêlent aux sols de rendzine.
Sur la rive gauche, les différents dépôts alluviaux recouvrant les formations tertiaires sont d’autant plus évolués qu’ils sont plus anciens jusqu’à la podzolization pour les hautes terrasses.
Les cépages :
De nombreux cépages bordelais et quelques autochtones produisent des vins blancs secs et moelleux, et de plus en plus de vin rouge.
Jusqu’à l’obtention de l’AOC en 1990, l’encépagement du vignoble du Marmandais était la fidèle reproduction de celui de Bordeaux : merlot, cabernet sauvignon et cabernet franc.
Arès cette date, le législateur a obligé les viticulteur à planter au moins 25 % de la surface du parcellaire en un ou plusieurs cépages originaires du Sud-ouest, comme le malbec et le fer servadou, ou provenant d’autres régions, comme la syrah et le gamay.
Un cépage autochtone, l’abouriou, entre également dans la liste des plants autorisés. Il apporte aux vins du Marmandais une bonne typicité. C’est un cépage assez productif qui, comme le merlot, arrive à maturité très tôt et qui produit des vins fruités, assez colorés et marqués par un caractère original.
Les vins blancs sont essentiellement issus du sauvignon, complété du sémillon, de la muscadelle et de l’ugni blanc.

Les Vins :
On trouve dans l’appellation quelques rares blancs et rosés. Les vins rouges, variés, sont soit de bonne garde, soit à apprécier sur le fruit de leur jeunesse.
En fonction des pourcentages des différents cépages qui entrent dans leur composition, plusieurs types de vins rouges peuvent être élaborés.
Les vins de garde sont composés d’un minimum de 25% d’abouriou, le complément étant assuré par le merlot et surtout le cabernet sauvignon.
Ces vins sont boisés, assez équilibrés avec des goûts de pruneau ; ils mettent beaucoup de temps à s’arrondir.
Les vins traditionnels, à boire rapidement, sont d’une belle couleur rubis et bien équilibrés. Ils sont élaborés avec une bonne proportion de cépages locaux, et particulièrement, l’abouriou. Ce sont des vins frais, fruités et originaux.
Ces vins sont produits ici en petites quantités. Ils ne sont pas désagréables mais manquent d’originalité, car on peut trouver ces types de vins dans de nombreuses autres appellations.

Quelques Informations :
AOC depuis :        2 Avril 1990
Superficie :          1314 hectares (répartis sur 27 communes se situant de part et d'autre de la Garonne en grande partie sur le département du Lot-et-Garonne).
Production :        67387 hectolitres.

La production de la Cave du Marmandais, cave coopérative de l’appellation (avec ses 2 sites de vinification de Beaupuy et de Cocumont) représente 90 % des volumes commercialisés sur l'Appellation. Les 10 % restants sont le fait de 9 caves particulières (vignerons indépendants).

Sources : >>  Atlas des Vignobles de France (Benoît) (Edition 2002) 
                               http://www.aquitaineonline.com/tourisme-sud-ouest 
                               Guide Hachette 2013

Cfa 01/2017




vendredi 13 janvier 2017

Mercredi 25 Janvier 2017 à 18h 30 au lieu habituel. Claude Falourd


                                                                                                                                              Aux adhérents du club Amphores




Madame, Monsieur,



               

La prochaine dégustation aura lieu le Mercredi 25 Janvier 2017 à 18h 30 au lieu habituel.





Pour débuter nos dégustations de l’année 2017,  nous vous proposons de vous conduire dans la région du Sud-ouest pour parcourir la moyenne Garonne.


De Cocumont à Fronton, nous nous arrêterons donc dans les trois appellations : Côtes du Marmandais, Buzet et Fronton.

Notre sélection vous proposera 3 Crus connus ou moins connus de chacune de ces appellations, sans oublier notre vin mystère.

Votre participation financière s’élèvera à 12 €.


Veuillez agréer, Madame, Monsieur, mes cordiales salutations.

pour vous inscrire  :







Claude Falourd

Un grand merci à Sylviane - Michel Marc

Mes amis d'Amphores, 

alors que je ne suis pas loin de prendre la route pour Nantes, je vous envoie un dernier mail (pour ce mois de janvier ...) avec deux objectifs :

- vous communiquer en PJ mon rapport moral et d'activités pour 2016

- et remercier plus nettement que je l'ai fait notre amie Sylviane qui, comme moi, quitte le bureau du club. Sylviane a oeuvré efficacement et assidûment pour notre club, et cela sans ostentation. Cette abnégation mérite d'être soulignée et saluée, et je garderai en mémoire ses commentaires de dégustation, toujours empreints de délicatesse et de subtilité. Merci à elle !  

   Je vous adresse mes amitiés, et vous rappelle que ma maison de la banlieue nantaise est (sera, car elle n'est pas encore construite) ouverte à ceux qui s'aventureraient dans les terres de l'ouest.

  Bises et amitiés, selon votre choix,

  Michel Marc

Rapport moral et d‘activités du club Amphores pour l’année 2016 - Michel MARC

Chers amis,

C’est évidemment avec une émotion certaine que je vous présente ce rapport moral et d’activités, puisque cette 22ème A.G. est la dernière Assemblée générale d’Amphores à laquelle je participe comme président.
Je commencerai par traiter rapidement le rapport d’activités. Je dis rapidement, car vous avez déjà reçu de notre actif trésorier le bilan des dégustations 2016. Vous avez donc connaissance de ce que nous avons fait au cours de l’année écoulée. Je veux juste souligner quelques points.

Rapport d’activités.

Le premier point, c’est la grande inégalité de participation à nos séances, puisque 3 dégustations atteignent ou dépassent 44 participants (Pomerol vs Saint-Emilion, Douro/Duero, et Puligny-Meursault), alors que la séance consacrée aux Côteaux-du-Layon ne recueille que 23 présents et celle dédiée au Lubéron seulement 24. On peut s’étonner aussi de la participation moyenne à la séance consacrée au domaine Marcel Deiss. Par contre le jeu se positionne bien. Au total, on peut parler d’une année de participation moyenne.
Il faut mettre ce constat en regard du prix moyen des dégustations, soit 17,1 euros, ce qui est très sensiblement supérieur aux autres années. Il y a là un point sur lequel il convient de veiller, même si l’un des éléments d’explication est qu’il y eut 2 dégustations de prestige en 2016 (celle de 2015 reportée en janvier 2016, et celle de l’année).
Notons aussi le nombre record d’invités, soit 49…alors que nous n’avons eu que 3 nouveaux adhérents. On peut aussi retenir que l’assiduité a été plutôt bonne : aucun membre n’a moins de 2 participations, la fréquentation la plus constatée étant de 7 séances. Quant aux dames, elles représentent avec constance 1/5 de l’effectif.
J’ajouterai juste que cette année comme les précédentes notre club a été présent à plusieurs dégustations professionnelles : guide Hachette, concours des Vins de Bourges, commissions d’agrément, lesquelles supposent que les dégustateurs participent à une formation annuelle sur le millésime et sur certains aspects techniques de la vinification.
Voici qui m’amène au rapport moral.

Rapport moral.

Ce rapport ne sera pas centré sur l’année 2016 : en effet, il me donne l’occasion d’opérer un bref retour en arrière sur le club depuis sa création.
C’est en 1994 qu’avec l’aide de plusieurs amis, dont certains sont toujours avec nous, j’ai fondé ce club Amphores, dénommé par ailleurs Club oenophilique de l’Université populaire du Berry, dont l’acronyme est C.O.U.P., …comme un coup à boire. L’idée, qui m’avait été suggérée par un auditeur de l’U.P. venant à mes cours de dégustation, répondait à une nécessité : celle de trouver un débouché aux nombreux auditeurs qui se complaisaient à redoubler ces fameux cours ou à ceux que je co-animais avec Claude Bouquet. Rapidement, le club a connu le succès, et est devenu un must dans Bourges et les environs.
Au point que lorsque le B.I.V.C., sous la houlette de son directeur Benoît Roumet, eut l’idée de monter des formations à la dégustation des vins du Centre-Loire, c’est dans le cadre de  l’U.P. qu’il le fit. Nul doute que cela contribua à élargir encore l’audience de notre club, et à en assoir mieux la notoriété.
Notoriété qui fit que petit à petit il fut naturel de s’adresser au club Amphores pour obtenir des dégustateurs à l’occasion de différentes manifestations professionnelles, comme je l’ai indiqué plus haut. Notre club avait ainsi acquis une réputation de sérieux, et était devenu un vivier reconnu dans tout le département, et même au-delà, puisque certains d’entre nous, dont votre serviteur, furent jurés au Concours général agricole de Paris, au Concours des Vignerons indépendants ou encore au Concours des Vins d’Angers, et que d’autres, ou parfois les mêmes, ont participé à différentes compétitions de dégustation, comme le Master Iacchos des Vins, ou nous avions terminé en très bonne place, ou les compétitions de la RVF, ou nous obtenons des résultats variables selon les fois, le meilleur ayant été la 2ème place du tandem Jean-Loup--Bernard, lors d’une éliminatoire RVF.
Permettez-moi de ne pas faire dans la modestie : je suis très fier de cette belle réputation acquise par le club, réputation qui reflète une qualité dont vous êtes les porteurs. Le club est donc bien installé dans le paysage oenophilique local, et comme il est sainement géré par nos trésoriers, on peut parler d’une belle santé et d’une belle réussite.
Toutefois, j’ai de petits regrets, qui portent sur des lacunes vénielles dont je suis le seul responsable. Cela concerne la communication. Alors que le club de whisky que j’ai fondé il y a quelques années s’est rapidement doté d’un blog reflétant la vie du club, rien de tel n’a été fait pour Amphores. Je crois que le rapide succès du club fit que nous n’en ressentîmes pas la nécessité. Pourtant, un blog de note club pourrait être aussi bien la mémoire d’Amphores (on pourrait y stocker nos comptes-rendus de dégustation) qu’un lieu d’échanges, avec nos annonces, des fiches techniques, etc. De même, je regrette n’avoir pas mieux utilisé la presse, non pas tellement pour nous faire connaître, mais pour montrer qu’à Bourges, on sait faire d’intéressantes choses. Ce sont là des détails, et peut-être, ou peut-être pas, que la nouvelle équipe dirigeante y consacrera son attention.
Car en effet, vous allez, chers amis, devoir renouveler le bureau du club, mon départ de la présidence venant s’ajouter au rythme habituel de renouvellement des instances. Ce renouvellement ne suscite pas chez moi de crainte, bien au contraire : j’ai toute confiance en votre choix, et je sais que le club sera en de bonnes mains. C’est pour moi, je ne le cache pas, un motif de sérénité. Je peux donc partir tranquille. C’est sur ce propos que je termine mon rapport, en n’oubliant pas de vous souhaiter à tous une très belle année 2017, et en ajoutant pour la nouvelle équipe tous mes vœux de réussite.
                                     Michel MARC, président sortant d’Amphores.

NB : passer au rapport financier + votes + élection nouveau bureau, qui donnera le nouveau calendrier.


jeudi 12 janvier 2017

Nouveau bureau du Club - Président Bernard Chat

Chers adhérents,






2017 est pour Amphores l'année d'un grand changement avec un bureau renouvellé suite au départ de notre ami et président Michel et Sylviane qui laisse sa place 

Suite au vote des adhérents hier lors de l'AG ont été élus :Claude Bouquet
Laurent Chollet
Bernard Chat
Bruno Creugny
Claude Falourd
Jean Michel Jacquet

Dans la foulée nous nous sommes réunis pour la formation du nouveau bureau

Président Bernard Chat
Trésorier Claude Falourd
Secrétaire Bruno Creugny
Blog Jean Michel Jacquet
Claude Bouquet
Laurent Chollet

Nous vous informerons prochainement de nos souhaits futurs en maintenant les valeurs d'Amphores de partage d'échange et d'amitiés 

Cordialement

Pour le bureau Bernard Chat



Remerciements de Michel Marc :

Chers amis d'Amphores,

Je veux ici vous remercier tous pour l'immense plaisir que vous m'avez fait hier lors de notre AG.
Plaisir de votre présence nombreuse, et plaisir du magnifique cadeau que vous m'avez fait pour mon départ.
Je joins la photo du Champagne Salon que vous m'avez offert, accompagné de 3 bouteilles des Blanchais, de chez Pelé.
Mes remerciements vont aussi à ceux qui n'ont pas pu venir.
Enfin, je renouvelle aux membres du bureau avec qui j'ai oeuvré pendant ces années mes remerciements chaleureux et ma sincère amitié.
Tous, du bureau ou non, vous faites de notre club un lieu de partage et de lien social. Et je sais qu'Amphores va poursuivre sa belle épopée. Cela me réjouit.
Toutes mes amitiés,




Michel